tout le monde à table
Tuesday, September 28th, 2010c’est sur ça que je travaille ces temps-ci… je sais, c’est illisible… mais vincent et moi, on se comprend. (encore heureux.)
c’est sur ça que je travaille ces temps-ci… je sais, c’est illisible… mais vincent et moi, on se comprend. (encore heureux.)
comme promis, voici la première partie (de trois) de mon long essai sur f’murrr. c’est sur du9, évidemment. c’est un texte un peu nonchalant qui commence par une évocation de mes premières lectures du génie des alpages, et puis qui enchaîne en musique, en rythme et en métrique. pour finir avec quelques mots à propos de territoire mental.
la semaine prochaine, on entrera vraiment dans le «littéraire» promis dans le titre. d’ici là, j’espère que cette première partie vous intéressera, surtout que f’murrr (à ma connaissance) n’a pas inspiré beaucoup de textes critiques, lacune que j’ai voulu combler ici.
un petit addenda à propos de mon article «crise de l’autobiographie» publié vendredi passé sur du9, pour signaler qu’il a provoqué ma foi pas mal d’interventions très intéressantes, parfois surprenantes, venant à la fois d’auteurs et de critiques. si le sujet vous intéresse, je vous invite à parcourir les commentaires à la suite de l’article. pour ma part, il faudrait bien que j’ajoute quelques mots à leur suite pour clarifier certaines choses (pas que j’aie l’impression d’être mal compris, au contraire, mais peut-être convient-il d’ajouter un peu de contexte à cet article, d’expliquer d’où il est parti), mais je manque un peu de temps cette semaine (la job et tout ça). je m’y mettrai d’ici la fin de semaine sans doute. de toute façon, rendez-vous demain la semaine prochaine pour la première partie de mon essai sur f’murrr.
chose promise, chose due: aujourd’hui paraît sur du9 mon essai à propos de la «crise de l’autobiographie» telle que j’en perçois l’existence. ça parle de «mise en danger», de pudeur et (un peu) de blogues. le texte en tant que tel est sans doute moins polémique que son titre le laisse entendre, même si (d’après les deux commentaires reçus jusqu’à maintenant) on dirait bien qu’il y a matière à discussion. je vous y invite donc, en attendant mon (très très long) texte sur f’murrr qui paraîtra sans doute au courant des prochaines semaines, enfin, dès que je termine d’en traiter l’iconographie.
avec septembre, ce sont les sites consacrés à la critique qui se réveillent doucement de leur torpeur estivale. je vous invite donc à aller visiter du9, qui reprend du service cette semaine avec quatre nouveaux articles, ainsi que neuf et demi, le blogue de thierry groensteen toujours en forme.
pour ma part, j’ai rédigé trois articles (dont un en trois parties) qui devraient paraître dans du9 au courant des prochaines semaines. je compte aussi publier, dans un futur proche, quelques articles en langue anglaise (probablement des traductions de choses déjà écrites en français). en attendant, je réalise que je n’ai jamais mentionné ici que la mouture électronique de neuvième art avait fait paraître, il y a quelques mois déjà, un texte de moi, david boring, vu de l’intérieur, à propos de l’œuvre bien connue de daniel clowes. c’est maintenant chose faite.
quant à moi, je poursuis ma réflexion quant à l’utilité de ce blogue, et j’envisage de reprendre plus activement l’intitulé «nouvelles lectures» pour y faire paraître notes de lecture, ébauches de théorie et autres réflexions fragmentaires qui ne trouveraient leur place dans un article normalement constitué. je ne promets rien mais ça travaille.
vincent et moi on s’est remis aux pièces détachées. le numéro 2 est prévu pour expozine, qui se tiendra, je l’espère, en novembre comme d’habitude. je sais, j’avais promis ça pour cet été mais ça a été impossible, pour diverses raisons. (la raison pricipale étant que ça prend beaucoup plus de temps que je pensais!)
comme je n’ai rien de vraiment substantiel à montrer, outre des dizaines de pages d’un scénario incompréhensible aux non-initiés, voici une page que vincent a postée sur son blogue il y a quelques temps, et qui devrait ouvrir (une fois nettoyée/redessinée) ce second opuscule:
plein de gens de goût nous ont dit qu’ils ont aimé le numéro 1, et bien sûr ça nous motive pour continuer, tout en nous mettant une pression non négligeable sur les épaules.
ceusécelles qui ne possèdent pas encore cet audacieux tome d’ouverture devraient se précipiter sur le site de la collection colosse où ils pourront se procurer ladite publication à un prix défiant toute modestie déplacée.