Archive for February, 2008

le DOGME (4)

Friday, February 22nd, 2008

cette semaine, le DOGME devient «meta». aïe aïe aïe.

avis d’orage en fin de journée

Thursday, February 21st, 2008

allez, hop, une nouvelle critique chez du9, cette fois du livre de christian rosset, avis d’orage en fin de journée, «hantologie» d’essais sur la bande dessinée parue récemment à l’association, collection «éprouvette»:

Quoique sa plume s’inscrivait amplement dans l’esprit des trois numéros de L’Éprouvette (la revue), il me semble que Christian Rosset n’y ait jamais été tout à fait à sa place. Ses chroniques discrètes, bavardes, «labyrinthiques» (pour reprendre un mot de l’introduction), faisaient un peu tache d’huile au sein d’une publication où fusaient tapages, indiscrétions et coups d’éclat. Comme lecteur je voyais que ces chroniques étaient là, j’en lisais un extrait ou deux quand j’y reconnaissais un nom propre ou que j’y apercevais un beau mot mais, déjà attiré par l’article suivant, je tournais la page, me promettant bien d’y revenir un dimanche de pluie ou un autre.

et pour lire l’article, c’est par là.

le DOGME (3)

Monday, February 11th, 2008

ça continue, et ça commence même à devenir drôle. on clique sur le strip pour le voir en (un peu) plus gros.

trondheim autobiographique(s)

Thursday, February 7th, 2008

les nouvelles lectures de chez du9 continuent, cette fois avec un exposé des approches autobiographiques chez lewis trondheim:

Parmi toutes les voies qui mènent de l’œuvre de Trondheim à son créateur, l’autobiographie a l’avantage d’être la plus directe. On le sait, l’autobiographie est une veine féconde de sa foissonnante bibliographie, à commencer par les six volumes d’Approximate Continuum Comix (1993-94), éventuellement compilés en un volume appelé Approximativement, jusqu’aux récents Petits riens (commencés en 2006 et toujours en cours). Entre les deux, plusieurs volumes ouvertement autobiographiques : les Carnets de bord (2001-03), bien sûr, ainsi que Désœuvré (2005), mais aussi Les Aventures de l’Univers (1997), qu’on oublie parfois. Je tenterai ici une approche générale de ces œuvres, utilisant pour cela des chemins de traverse entre elles, chemins qui pourront éventuellement rejoindre d’autres œuvres, non spécifiquement autobiographiques, de l’auteur.

la suite de l’article, dont je suis pas mal content, est de l’autre côté de ce lien fort subtil. tout ceci fait partie d’un projet sur lequel je travaille présentement autour de l’oeuvre protéiforme de trondheim. il est donc fort probable que j’en publie d’autres extraits plus tard, toujours via du9.